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7 juillet 2018

« Le bien et le mal sont-ils des étiquettes apposées par les instincts sociaux de l’animal humain ? »

- Le bien est lié à ce qui favorise la vie harmonieuse en société, le mal à ce la rend difficile.
- ‘J’entends par bien ce que nous savons, de toute certitude, nous être utile.’ (Spinoza)
- Le choix d’action personnel est dirigé selon des considérations de bon ou mauvais pour soi, dicté aussi par l’approbation sociale intégrée (surmoi).
- La conception du bien varie selon l’étendue du groupe et l’échéance envisagés.
- Les préceptes sont culturels, fonction des circonstances, de l’époque où ils ont été fondés.
- On juge un acte sur son résultat, l’intention n’entre en compte que comme excuse.
- Pour que l’arbitrage conscient soit libre, il faudrait se défaire de toutes les influences morales transmises, se constituer une éthique délibérée, connaître et examiner les implications de ses actes.
- Une éthique personnelle est un ensemble cohérent de règles d’actions estimées justes et adéquates.
- Les animaux conservent les comportements les mieux adaptés, renforcés par sélection naturelle.
- La récompense sociale du comportement moral est l’estime.         
- Si le bien est la norme ou l’usage, le transgresser peut être facteur d’évolution.
- Le bien et le mal ne sont pas adversaires, mais complices. Ce qui est bon pour le groupe ne l’est pas toujours pour chacun, à l’origine de conflits d’intérêt, de dilemmes moraux.

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