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Le meilleur café philo de Bruxelles
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24 février 2018

« Comment la Belgique peut-elle traiter le problème des réfugiés ? »

- Quel est le problème ?, la peur et les risques à évaluer.                         
- La peur d’une ‘invasion, d’un ‘appel’, d’une évolution démographique en faveur des nouveaux arrivants.
- La peur d’une perte d’identité culturelle, d’une acculturation.
- Le risque d’une augmentation de la délinquance due aux différences de normes morales.
- Le risque économique, d’augmentation du nombre d’assistés.
- Les difficultés viennent de l’incertitude, sur le statut pour ceux qui sont en attente d’une décision, sur la durée de l’exil.
- Les personnes en transit ne désirent pas demander l’asile par peur d’être ‘bloqués’ dans un pays, ou d’être renvoyés dans le pays d’arrivée, mais celui-ci doit-il supporter toute la charge de l’accueil ?,  
- La clandestinité présente un risque d’attirer des profiteurs (passeurs, traite d’êtres humains).
- Les structures d’accueil, les parcours d’intégration, la formation permettent une meilleure compréhension des langues, des institutions et des coutumes.
- La participation à la vie économique, par l’utilisation du potentiel de chacun, permet de diminuer le coût social.    
- ‘Gouverner, c’est prévoir’, l’éducation agit sur le long terme en formant les futurs citoyens.
- Un problème humain se traite avec humanité.
- Les cultures ne s’excluent pas, si on cherche des liens, elles s’enrichissent mutuellement.
- L’évolution culturelle est une manière d’éviter qu’une civilisation se sclérose,  l’individualisme de la nôtre en serait un facteur.

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