« En quoi le ‘Mal’ est-il autre chose que l’égoïsme ? »

- Le mal peut être défini comme opposé au bien, ou comme cause de souffrance.
- L’animal agit selon ses instincts et l’apprentissage, il ne connaît ni bien ni mal.
- L’homme, en début de développement est égocentrique, il conçoit tout en fonction de lui, tandis que l’égoïste, bien que conscient de la place des autres, n’en tient pas compte.
- L’apprentissage social commence par le décryptage des expressions du visage, les neurones miroir permettent d’imaginer le ressenti des autres, et d’interagir avec lui.
- On n’agit que pour son bien, qu’il soit matériel ou social, direct ou différé ou transposé pour se conformer à la morale.
- L’action se choisit en fonction de la valeur, celle qui prime est décisive.
- Les valeurs personnelles, collectives ou génériques peuvent entrer en conflit ou s’harmoniser.
- La réflexion basée sur l’expérience et la connaissance reçue dicte la conduite future, permet de prévoir les conséquences de ses actes.
- L’homme n’agit pas toujours selon la raison, des besoins mal comblés enfouis ressurgissent et cherchent leur satisfaction. La prise de conscience et la résilience permet de dépasser les cycles de reproduction.   
- L’ignorance est la source de bien des maux, par la difficulté de concevoir les effets et conséquences des actes qu’elle crée,  et par les confusions de traduction des signes émis, surtout de cultures différentes.
- La peur induit des comportements de fuite, d’attaque ou d’immobilisme, la fuite devant ses responsabilités peut être de la lâcheté, l’immobilisme peut être faire stagner des situations, l’attaque peut se traduire en action efficace, en agressivité ou en désir de pouvoir sur les autres, parfois à leur détriment.