« L’argent est-il une concrétisation nécessaire à/de la coopération ? »
- Un groupe se fonde et s’organise, entre autres, par coopération entre ses membres.
- S’entendre sur la valeur de l’apport de chacun à l’ensemble est nécessaire aux échanges dans les groupes étendus. Peut-on évaluer la manière dont le groupe apprécie un service rendu ou demandé ?
- S’il y a coopération, il y a une valeur subjective commune.
- Un échange(ou troc) entre deux individus suppose un accord sur la subjectivation, l’argent a une valeur formelle ou générique.
- L’argent est un intermédiaire représentant l’énergie mise à effectuer une tâche.
- Une action est concrète, l’évaluer pour pouvoir l’échanger n’est-ce pas l’abstraire ?
- Le fait d’accepter une monnaie est déjà une forme de coopération, les monnaies locales la rendent plus tangible.
- La coopération se fait naturellement lorsqu’il y risque pour la survie du groupe, ou dans ou projet commun, sans nécessiter de valeur d’échange.
- L’argent, ni nécessaire, ni suffisant à la coopération, la rend anonyme (et transmissible), l’impôt équitable serait un moyen de la mettre en application par convention.
- La valeur symbolique de l’argent en fait un objet de compétition, par la puissance qu’il attribue.
COMMENTAIRE
- Palabre .. sans aucune portée philosophique ! (-Rman)