« Le bonheur ne se recherche pas, il est la conséquence de bien faire ce que l’on sait faire, en deça de son incompétence. »

- Expression d‘une excellence, de la vertu (perfection de l’action), ou de l’activité opportune et adéquate.
- Le bonheur procède de l’action appropriée où la nature se réalise pleinement
- Le bonheur ne serait-il que rétrospectif ?
- Il dépend du regard que l’on porte sur soi, et par conséquent sur les autres.          
- La compétence s’acquiert par la mise en oeuvre, le bonheur peut se trouver dans la découverte, l’apprentissage d’un savoir-faire.    
- Comment peut-on juger du ‘bien faire’ ?, l’exigence envers soi augmente avec la connaissance.
- Le bonheur, même s’il n’est pas consciemment recherché, est une motivation de l’action.
- Le bonheur se trouve plus souvent sur le chemin que dans l’accomplissement ou la répétition.
- S’il ne se recherche pas, il peut se cultiver par la sagesse, savoir discerner ce qui dépend de soi, dont la manière d’agir et d’appréhender la vie.  
- Le bonheur serait pour les épicuriens une sérénité de l’esprit qui résulte de la modération dans la recherche des plaisirs, limitée à  la satisfaction des désirs naturels et nécessaires. L'hédonisme réflexif rejoint l'eudémonisme.
- La contemplation, la présence au monde, la faculté d’émerveillement, sont aussi sources de bonheur.
- Le bonheur est-il affaire d’aptitudes ou d’attitude envers les choses ?