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24 novembre 2018

« Heureux ceux qui ont faim et soif de justice... »

-  ‘..Car ils seront rassasiés’ (Matthieu).  Quand, où et comment ?
- La justice ne se limite pas au respect du droit, elle se ressent comme une exigence.
- L’aspiration à un idéal n’est pas un but, elle oriente et motive l’action.
- La justice est une vertu complète selon Aristote, elle englobe les autres dans la quête d’harmonie.         
- La justice contribue à la cohésion de groupe, il est naturel que l'évolution en ait favorisé l'appétit.                                        
- La société ne peut se réduire à un ‘homme moyen’, la diversité des aptitudes et des motivations appelle l’équité, l’égalité des chances plutôt que l’égalité de traitement (justice distributive vs commutative).
- L’équité serait la juste appréciation de ce qui est dû à chacun, selon les besoins ou le mérite ?  
- Faut-il évaluer selon l’intention ou le résultat ?, les aptitudes ou l’effort ?
- Les règles sont inculquées par l'éducation, par la sanction si on les enfreint et la récompense si on les suit.     
- La vertu est a elle-même sa propre récompense (Spinoza). Elle inspire le respect, la reconnaissance du groupe, et/ou la gratification de l'image de soi.
- La justice sociale est-elle la répartition des richesses, ou la réponse minimale aux besoins vitaux par la solidarité ?
- La faim de justice se nourrit par les miettes semées, les actes qui tendent à équilibrer sa balance.

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