« Comment gérer la reconnaissance de groupe dans notre société ? »
- Une expérience relatée semble monter que l’identification de ‘siens’ fait réagir les mêmes zones cérébrales que la reconnaissance de membres assignés de son équipe, récemment constituée.
- L’inclusion rassure, génère la confiance, sa conséquence est la loyauté.
- L’effet supposé de la reconnaissance de groupe est l’apaisement.
- L’identification est cognitive, son effet est émotionnel.
- On est plus favorablement disposé envers un ‘reconnu comme sien’ qu’envers un ‘autre’.
- Les autres groupes sont classés selon l’expérience, la connaissance de quelques-uns de leurs éléments, ou les préjugés véhiculés.
- L’autre peut être directement classé dans un groupe, avec les jugements de valeur qui y sont liés, ou susciter la curiosité s’il n’est pas identifié ou inclassable.
- Gérer pour éviter la division de la société, ou pour avoir une conscience plus claire de ses critères ?
- La définition du groupe auquel on appartient dépend des circonstances et de l’activité (travail, sport, loisirs),
- Les critères de sélection sont culturels, ils se modulent dans les interactions.
- On reconnait comme semblable celui qui est soumis aux mêmes règles explicites ou implicites.
- Les activités en commun multiplient les groupes d’appartenance.