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8 novembre 2014

« L'abondance de contrôle . . tue la liberté »

- Contrôler, c’est vérifier le respect des règles d’action  dans un groupe.
- Quelles sont les possibilités de s’abstraire des règles pour l’individu, quelle est sa part d’initiative ?
- Si les règles sont contestées, reste la liberté d’essayer de les faire évoluer,.. ou de quitter le groupe.  
- Le contrôle est nécessaire, sinon, c’est la loi de la jungle, chacun est contrôlé par la violence de certains autres.
- Le sentiment de liberté est l’impression de pouvoir faire des choix.
- L’habitant de Flatland se sent libre, l’est-il ?
- Tout choix a des implications, pour soi ou pour les autres.
- Le cadre rassure ;  le contrôle déplace des conséquences floues à long terme, vers un effet prévisible et déterminé > le choix est simplifié.
- Il y a deux catégories de contrôle, le contrôle intérieur et le contrôle extérieur, chacun des deux peut être soumis ou non à la raison ;  ce qui donne : la libre pensée, l’endoctrinement, la démocratie et la dictature.
- Des règles trop strictes, ou dont les moyens de les suivre se réduisent, suscitent la recherche de voies parallèles, la marginalisation.  
- Lorsque le contrôle est trop pressant, il peut provoquer une réaction de transgression, la pression du nombre peut rendre les règles inopérantes.
- Le contrôle suppose un manque de maturité des individus, il les infantilise.   
- La compréhension, l’appropriation  du cadre par chacun, permet un relâchement du contrôle, une société adulte, vivante, où des idées originales pourraient êtres prises en compte.    [c'est.. l' utopie]

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